La
médecine antiâge, au sens où nous l'entendons,  est une spécialité médicale qui a pour but de
maintenir l’équilibre biologique 
de 
					
l’organisme au cours du vieillissement.
  
 
 
					
De tous temps, l’Homme a recherché l’élixir de vie. On trouve encore
aujourd’hui des médecins qui prescrivent des herbes exotiques ou des potions
mystérieuses sensées garantir une jouvence éternelle.
 
					
 
					
 
					
  
 
					
La santé est assurée par un 
					
programme biologique contrôlé à
chaque instant 
					
par les  vitamines
et les oligoéléments que l’on trouve dans la nourriture, mais également par
les hormones sécrétées par les glandes (testicules, surrénales,
pancréas, thyroïde, hypophyse, épiphyse).
								
					
								
					
								L'importance de la diminution de productions des 
								hormones androgènes sur les maladies du 
								vieillissement a d'abord été
								
					
								démontrée chez l'homme 
								
					
								il y a quarante ans. 
								
								Le concept de la
								
								maladie 
								ménopause provoquée par le manque d'hormones 
								mâles après la cessation des menstruations chez 
								la femme a
								ensuite été étudié chez la femme 
								depuis une 
								quinzaine d'années. 
								
								**** 
								
								
								
								
								
								Depuis près de quarante ans le docteur Georges Debled  
a attiré continuellement l'attention sur le fait que la diminution de la 
sécrétion des androgènes chez l'homme diminue après quarante ans avec comme conséquence
la dégénérescence du corps conduisant au surpoids, à l’insuffisance
sexuelle, aux maladies cardiovasculaires et à l’involution du cerveau.
 
 
								
 
								
								
								Une étude scientifique 
rigoureuse (La Telecom Study) 
								
								
								a 
démontré en 1997
								
								
								
l'association entre 
le taux de testostérone plasmatique et les facteurs de risque cardiovasculaires 
chez l'homme en bonne santé
								
								
confirmant ainsi entre 
autres, ce que le docteur Georges Debled  affirmait  depuis 1974 
d'après ses études cliniques. 
								
								
								
								Les études "scientifiques" 
actuelles portant sur le taux de testostérone plasmatique pourraient 
judicieusement être complétées par l'analyse de 
 
								
								
								la 
								
								
								
production journalière des androgènes d'un sujet donné.
  
 
 
								
La prévention du vieillissement se fait en prenant les hormones manquantes à
des doses précises sur la base d’analyses biologiques précises. Il existe
différents programmes d’analyses pour les hommes  de 40 à 55 ans,
de 55 à 70 ans et au-delà. D’après ces bases scientifiques le médecin peut
alors prescrire l’hormone ou les hormones manquantes sans danger et
suivre la biologie coordonnée au cours des années et détecter à temps les
différentes insuffisances qui apparaissent au fil du temps.
 
								
 
								
								
  
 
								
Un traitement simpliste ne peut suffire. La prise de  DHEA, par exemple, est souvent présentée comme l’
« aspirine contre le vieillissement ».
								
Lorsque l’on introduit 
la DHEA dans l’organisme, tout le programme biologique hormonal est modifié 
.
								
								
Ceci ne peut  pas se faire
à l’aveugle ( c'est à dire sur un simple dosage de la DHEA!).  
								
 Ce n’est pas en prenant un seul 
"composant" que l’on règle l’ensemble des problèmes de biochimie dynamique.
								
  
 
 
								
								
								La personne qui désire accéder à la médecine antiâge doit comprendre
qu’il ne s’agit pas de prendre une substance de façon aléatoire . L’aide
d’un médecin formé aux technologies antiâge sera précieuse.  
 
								
								
								
								
Panhypopituitarism as a Model to Study the Metabolism of Dehydroepiandrosteron 
(DHEA) in Humans 
								
								
J acques Young, Beatrice Couzinet, Khalil Nahoul, Sylvie 
Brailly, Philippe Chanson, Etienne Emile Baulieu and Gilbert Schaison
								
								
								
								
Service d’Endocrinologie et 
des Maladies de la Reproduction, (J.Y., B.C.,K.N., P.C., G.S.), Laboratoire de 
Biochimie Hormonale (S.B.); Inserm U33 (E.E.B.) and IFR 21 (J.Y., E.E.B., G.S.), 
Hopital Bicêtre 94275 Kremlin Bicêtre, France) 
							 
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